Améliorer le confort, la sécurité, la rapidité du RER A, tel est l’un des buts que se sont fixés les militants de la Fédération Nationale des Associations des Usagers des Transports.
Nous avons interrogé Yves Boutry vice-président de cette association qui a en charge le RER A.
Tout a commencé il y a trois par une pétition qui a recueilli 17.000 signatures qui a demandé le renouvellement du matériel roulant. Cette pétition a eu un large audience. Le président de la république lui-même s’en est fait l’écho.
Mais plusieurs problèmes restent à résoudre.
1)l’information des voyageurs en cas de retard ou d’incident à bord des rames ou en gare
2) l’application du schéma directeur du RER A élaboré, approuvé mais non financé. Ni par la région (STIF). Ni par l’Etat.
Les infrastructures ( les gares – pas celle de Poissy mais celle d’Auber par exemple ) datent d’il y a 30 ans.
3) le retournement en cas d’incident (suicide, problème technique) à la gare la plus proche.
4) une meilleure coordination des informations entre les deux exploitants: RATP et SNCF
5) une fréquence plus grande des trains de 10 minutes au lieu des 20 minutes actuelles
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