« Le Courrier » en fait sa une aujourd’hui.
Les commissariats de police de la région, de l’aveu-même des policiers, semblent en triste état. Et celui de Poissy « l’oublié de l’administration »
Les lieux seraient « vétustes ». Les toilettes plus que dégradées avec des odeurs « nauséabondes »
Une salle a été refaite par la municipalité précédente pour les conférences de presse et les réunions internes.
4 réflexions sur “La grande misère du commissariat.”
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Ce bâtiment qui appartiendrait à une banque était en vente il y a deux ans déjà.
A t’il changé de propriétaire?
Pourquoi était il en vente?
La banque était elle informée de son devenir ?
Pourquoi personne n’en parle ?
Pourquoi personne ne confirme ou ne dément cette info?
Article de Janvier 2014
Karl Olive: « On se battra pour notre commissariat »
Le secret était bien gardé mais depuis le début de la semaine, la réalité a rattrapé les rumeurs. Le stade II de la réforme de la police nationale occasionne sur Poissy plus que des motifs d’inquiétude. La brigade de nuit pisciacaise comme la brigade de sureté urbaine pourraient être pilotées et transférées sur Conflans dans le cadre de la mutualisation des commissariats. Poissy ne serait plus qu’une caisse d’enregistrements des plaintes. Tout simplement inacceptable. Ce commissariat, qui connait une activité très importante, constitue un maillon essentiel du service public pour les pisciacaises et les pisciacais. C’est au moment où l’insécurité grandit jour après jour dans notre cité que cette annonce devrait être rendue officielle dans les prochains jours. Une fois de plus, le maire de Poissy démontre son incapacité à défendre ses administrés. Avant les vacances, il avait zappé la réunion publique organisée au commissariat. Jamais il n’a réuni en six années de mandat le conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance (clspd) malgré les multiples appels lancés par les élus et les associations. Je le déplore et lui rappelle que les Pisciacais sont en droit de bénéficier d’une sécurité élémentaire.
J’ai donc alerté notre député, David Douillet lequel, a interpellé sans délai Monsieur Valls, le ministre de l’Intérieur. La partie n’est pas gagnée, mais nous nous battrons pour que ne disparaisse pas ce service public cher aux pisciacais.
Un communiqué de janvier 2014 sur la réforme c’est une chose, mais les locaux étaient mis en vente en 2012-2013.
Les questions restent posées:
Ont ils été vendus?
Si oui, la ville a t’elle preempté?
Le vendeur qui argumentait sur une sécurité des loyers payés par l’état, était il informé de cette réforme ?
J’ai bien fait de décliner l’offre mais je pense à l’éventuel « pigeon »…